La Gavrinis d’Alexandre : le SUP Race qui a changé sa lecture du plan d’eau
Alexandre a été séduit par la diversité des modèles proposés chez 3 Bay Paddle et par leur fiabilité. « Ce qui m’a attiré, c’est la variété des SUP Race disponibles, testés et approuvés par de nombreux pagayeurs, » explique-t-il. Les décorations uniques ont également joué un rôle important dans son choix : « Les décorations chez 3 Bay sont vraiment chatoyantes et uniques. Cela apporte un côté esthétique qui compte pour moi dans la pratique. »
La possibilité d’avoir une planche fabriquée sur mesure en France a été un élément déterminant pour Alexandre. « Pouvoir faire shaper une planche adaptée à mon usage, à mon expérience et à mon gabarit, c’était essentiel, surtout pour un prix similaire ou inférieur à celui de la concurrence, » confie-t-il. Soutenir un artisan français était aussi une motivation forte : « Dans ce sens, j’ai aussi préféré soutenir nos artisans nationaux au savoir-faire unique. » Et pour Alexandre, la personnalisation ajoutait une vraie dimension de plaisir à sa pratique : « Le fait de pouvoir choisir les options et la décoration de mon futur paddle, ça pèse beaucoup dans le plaisir que j’ai à naviguer, au-delà de la simple performance. »
Avec huit ans de pratique en SUP Race et SUP Surf, Alexandre, qui mesure 1m68 pour 70 kg, utilise principalement son SUP en Méditerranée. « Je l’utilise dans des conditions plates, ventées, ou avec du clapot formé, ou pour du downwind, » explique-t-il. Même s’il participe à quelques compétitions, son SUP Race est avant tout dédié aux longues randonnées côtières. Sa précédente planche, une 14×24 orientée pour les conditions océaniques, ne procurait pas la glisse recherchée dans des eaux plus calmes. « Ma précédente planche poussait l’eau sur le plat et ne donnait pas cette sensation de glisse que j’avais ressentie en essayant d’autres modèles, » précise-t-il.
Avec la Gavrinis de 3 Bay, Alexandre a trouvé un équilibre idéal. « Ce modèle est parfait pour les plans d’eau moins agités, tout en conservant un esprit allwater, » affirme-t-il. Après avoir échangé avec Patrice, il a pu choisir des dimensions précises : « J’ai opté pour une 14×23, ce qui me garantit une bonne glisse et un confort relatif, ce qui est important pour moi, surtout en hiver quand l’eau est froide. » Sans avoir jamais essayé ce modèle, il s’est lancé en toute confiance, ayant seulement testé brièvement l’Irus d’un ami.
Lors des premiers essais, Alexandre a été impressionné par la qualité de fabrication de la Gavrinis. « La finition brush carbon a un côté brut qui laisse apparaître le matériau, c’est vraiment réussi, » remarque-t-il. Sa nouvelle planche, légère avec ses 11 kg, lui a offert la stabilité qu’il recherchait : « La stabilité est assez proche de ce que je connaissais, mais elle est même supérieure en termes de stabilité secondaire. » Quant à la glisse, Alexandre a tout de suite senti la différence : « La Gavrinis ralentit moins entre chaque coup de pagaie, et la vitesse de pointe est également supérieure. »
Il apprécie particulièrement le pont semi-creusé de la Gavrinis, qui offre un bon compromis pour sa pratique. « N’étant pas fan des ponts dugout, le pont semi-creusé est parfait ; je peux m’asseoir sans être gêné par les rails pendant les pauses. » Alexandre a même ajusté sa pagaie pour s’adapter à ce nouveau modèle. « J’ai raccourci de 2 cm ma pagaie pour retrouver les sensations et la fréquence de ma précédente planche. »
La Gavrinis a également transformé sa manière d’interagir avec le plan d’eau : « Sa capacité à attraper n’importe quel bump et à accélérer a changé ma façon de profiter des ondulations. Avant, il fallait des vagues conséquentes pour cela, mais là, je peux surfer les bumps et chasser les sillages de bateaux avec beaucoup plus de facilité. » En compétition, en surf ou lors de virages bouée, la maniabilité de la Gavrinis s’est aussi révélée précieuse : « En downwind, le nez reste très sain, ne freine pas la planche et l’arrière pincé me permet de bien manœuvrer pendant le surf. »
Pour ceux qui hésitent encore, Alexandre recommande de bien discuter avec Patrice pour définir leurs besoins et, si possible, d’essayer une planche 3 Bay lors d’une compétition ou celle d’un ami. Et pour lui, le détail final n’est pas négligeable : « Et quand même, avoir sa planche avec sa déco personnalisée, ça en jette ! »